Le livre


Un artiste, libre-penseur menacé par l’Inquisition dans l’effervescence de la Renaissance, fuit son Italie natale et, avec l’aide de son frère parvient à s’échapper, via l’Espagne jusqu’aux confins de la Bolivie où il rencontre un monde indien décimé par la violence des Européens. À Potosi, il se place sous la protection du gouverneur de la sinistre Casa de la Moneda qui lui commande la plus grande sculpture jamais réalisée dans le métal local : l’argent pur ! Pendant l’exécution dramatique de cette œuvre aussi folle que démesurée, Virgilio est en butte au fanatisme et à l’intolérance mais prouve aussi que celui qui maîtrise le dessin à la perfection peut modeler les rêves des hommes.

L’auteur


Journaliste et globe-trotter, enseignant durant 20 ans à l’université Panthéon-Sorbonne, rédacteur en chef de la revue internationale Atlas puis directeur de la rédaction au sein d’un groupe d’édition européen, Guy Gouëzel, outre ses ouvrages personnels (La France, la Bretagne, Terre d’Evasion), a assuré la direction d’une quarantaine de collections encyclopédiques pour tous les publics (thèmes de la connaissance), de collections de cinéma (fictions, documentaires, séries TV ) et de collections musicales.

POTOSI, les brûlures de l’argent est son premier roman, écrit à la suite de nombreux voyages dans les pays latins et plus particulièrement en Amérique Centrale et du Sud.

Les publics


Cet ouvrage intéressera particulièrement :

Amateurs d’art (dessin, peinture, sculpture, architecture)

Professions médicales (anatomie, recherche de nouveau traitement en Amazonie)

Entrepreneurs, étudiants en école de commerce (les compagnies cargatores de Séville véritables « start up » de la Renaissance et origine du capitalisme européen)

Marins et gens de mer (Le passage de l’Atlantique)

Ingénieurs et scientifiques (L’exploit des fondeurs d’argent)

Fervents d’intrigues au cœur des réseaux (Inquisition, contrebande, fraude)

Âmes romantiques, sensibles aux mille facettes de l’amour

Le titre


POTOSI, les brûlures de l’argent désigne le centre d’intérêt du roman au sens propre comme au sens figuré :

Les brûlures sont celles provoquées sur la peau des indiens par le minerai en fusion que l’on coule pour fabriquer les lingots à destination de l’Europe.

Les brûlures au sens figuré sont celles engendrées par la folie des hommes saisis par l’éternel démon de l’argent, fluide vital comme le sang qui irrigue le corps.

Pour aller plus loin


Les thèmes : L’art, l’amour, l’argent, la violence comme moteurs de la société. Pour ces raisons l’action a été située à une époque mouvementée, la fin de la Renaissance. Elle a pour théâtre d’abord Naples et l’Italie, puis Séville et l’Espagne, et enfin (et surtout) l’Amérique latine et le Haut Pérou (Bolivie).

Une structure agencée en cinq actes :

L’enfance difficile du héros principal, Virgilio, due à un quasi abandon. Naissance à Naples de sa vocation artistique précoce.

La rencontre avec un demi-frère, futur marchand et économiste brillant qui, via l’Espagne, la traversée de l’Atlantique, Cuba et l’Amérique centrale entraîne le héros (poursuivi par l’Inquisition en raison de ses mœurs et de son indépendance d’esprit) jusqu’aux mines d’argent de la lointaine Potosi en Bolivie.

La découverte d’un monde indien méprisé et écrasé par la brutalité des Occidentaux, puis l’émerveillement face aux étranges civilisations andines. Pur produit de la société européenne, l’artiste se trouve projeté dans un univers dont la sensibilité est bien différente de la sienne et pour lequel il se prend de passion

La réalisation d’un chef-d’œuvre : une sculpture gigantesque en argent pur issu de la galène des mines de Potosi.

La fin flamboyante.

La période : 1550-160

Pour mémoire : entre 1500 et 1650 l’Inquisition a instruit 60 procès en hérésie à Lima, capitale du Pérou, 150 dans le Nouveau Monde (Mexique, Amérique centrale, Amérique du sud) et 500 dans l’ensemble du vaste empire espagnol.

Une intrigue principale :

Un artiste, dessinateur à la capacité d’observation exceptionnelle, aventurier et libre-penseur (et pour cela menacé par l’Inquisition), fuit son Italie natale puis, par l’intermédiaire de son énergique demi-frère, s’échappe jusqu’en Bolivie. Là, il se place sous la protection d’un tyran éclairé, maître des mines d’argent et de la Casa de la Moneda de Potosi qui lui commande la plus grande œuvre sculptée jamais exécutée en argent. Par cette action, il administrera la preuve que celui qui maîtrise le dessin à la perfection et l’art de donner une forme concrète aux idées, peut guider et accompagner les rêves des hommes.

Des intrigues secondaires :

L’omniprésence sourde des moines de l’Inquisition, véritable police politique du Pape et des rois espagnols, redoutée par le peuple.

Les manœuvres des nobles de Séville en liaison avec celles du comte d’Espalda, gouverneur corrompu de Potosi.

Le génocide des indiens, victimes du mercure nécessaire à l’amalgame du minerai d’argent et d’un cruel système d’exploitation.

L’amour sous des facettes bien différentes

Histoire et fiction

La part du vrai :

Temps Modernes — l’époque est au mouvement

L’Italie, terre des arts, est un lieu idéal pour la formation d’un dessinateur surdoué.

Séville au xve siècle, son effervescence, ses banquiers, ses affairistes, la Casa de la Contractación

La colonisation et le choc avec les cultures précolombiennes

L’Inquisition (Saint Office) et la surveillance morale et religieuse

La Casa de la Moneda de Potosi au cœur du système capitaliste naissant et les mines d’argent du Cerro Rico

L’Espagne, un empire conquérant, lui-même dépouillé de son butin d’argent et d’or par d’autres prédateurs (Angleterre, France, Pays Bas, banquiers allemands ou italiens)

La fiction :

Le texte transpose dans l’effervescence de la Renaissance finissante et celle de la mise à sac de l’Amérique latine par les occidentaux, un type d’homme sensible, clairvoyant, éternel que l’on retrouve dans toutes les sociétés, là où naissent le mouvement et ses corollaires : la violence, le chaos, la création et l’art, le bouillonnement de la vie.

Festival international du livre : Étonnants Voyageurs à Saint-Malo 26 et 28 mai


Parallèlement à la campagne de presse et média en cours auprès des chaînes nationales de Télévision, Radio et journaux nationaux, Guy GOUEZEL, auteur du roman POTOSI, les brûlures de l'argent à participé durant 3 jours intenses au Festival international du livre et du Film ETONNANTS VOYAGEURS qui, cette année réunissait près de 250 auteurs et plus de 300 éditeurs pour la plupart présents par l'intermédiaire de 12 librairies associées au festival.

Ce Festival exceptionnel, point central pendant 3 jours d' une France et une Europe ouvertes sur le monde est un rendez vous incontournable pour les écrivains et les cinéastes du voyage. Présent sur le stand des Editions GRANDVAUX (diffusion BELIN) Guy GOUEZEL, a eu l'immense plaisir de rencontrer ses lecteurs pour lesquels il a dédicacé son livre. La soirée à la très belle galerie de Daniel DERRIEN, Les Naufragés du temps, a constitué pour lui et ses éditeurs un temps fort parmi de nombreuses belles et chaleureuses rencontres avec le public. Le tout dans le décor extraordinaire d'une cité corsaire où fleure depuis des siècles un parfum d'audace et d'aventure.

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ATTACHEE DE PRESSE

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Guy Gouezel dédicaçant son roman d'aventure POTOS, les brûlures de l'argent dans la galerie d'art et librairie de Daniel DERRIEN, les Naufragés du Temps

3 mâts à Saint Mâlo (citée 2 fois dans le roman POTOSI) la cité des Corsaires où se tient le Festival ETONNANTS VOYAGEURS, pour partir à la découverte des livres et des films d'aventures